En el cuadro del cierre del festival internacional de danza independiente COCOA, tuvo lugar el 26 de Septiembre la primera representación del nuevo espectáculo de Teresa Duggan, Sulky, interpretada por su compañía.
En esta nueva obra, la coreógrafa argentina se propuso conciliar la danza butoh con la atmósfera de las montañas de la PUNA, mezcla insólita de dos universos que parecen a priori inconciliables. Por un lado la danza grave y minimalista y del otro la ligereza y la poesia de los rituales andinos.
Las performances musicales en vivo, una puesta en escena cuidada, la riqueza del vestuario hacen de esta obra un paréntesis único y onírico en la cual el espectador es sumergido por completo. Aca, el placer se tiñe de circunspección , pero el “avant gardismo” de la obra no impide en ningún momento saborear su belleza, por lo contrario la refuerza.
Con Sulky, Teresa Duggan confirma un certero talento en la coreografia y la escenografia, pero sobretodo en un estilo inimitable buscando explorar siempre un poco más de las posibilidades del cuerpo, de los objetos y de la luz.
Théâtre - Sulky
Dans le cadre de la clôture du festival international de danse indépendante Cocoa, a eu lieu le 26 septembre la première représentation du nouveau spectacle de Teresa Duggan, Sulky, interprété par sa compagnie Duggandanza.
Dans cette nouvelle oeuvre, la chorégraphe argentine s’est attachée à concilier la danse japonaise Butō avec l’atmosphère des montagnes de la Puna, mélange insolite de deux univers qui semblent à priori inconciliables. D’un côté celui d’une danse grave et minimaliste, de l’autre la légèreté et la poésie des rituels andins.
Les performances musicales en direct, la mise en scène soignée, la richesse des costumes, font de cette œuvre une parenthèse unique et onirique dans laquelle le spectateur est plongé tout entier. Ici, le plaisir se teinte de circonspection, mais l’avant-gardisme de la pièce n’empêche à aucun moment d’en savourer la beauté. Même, il la renforce.
Avec Sulky, Teresa Duggan confirme un talent certain dans la chorégraphie et la scénographie, mais surtout un style inimitable cherchant à explorer toujours un peu plus les possibilités que le corps, les objets et la lumière nous offrent.Mathilde Sagaire -lacedille.com.ar - le mardi 28 août 2010
Prochaines représentations : chaque dimanche d’octobre à 20h
Sala Mediterránea
Tucuman 3378
4863-7156
Entrée : 30,- pesos
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